«Il demande d'acheter les livres à l'avance, ce qui est normal pour un premier livre d'un auteur. Cela représente environ 4000$ que je dois débourser moi-même. J'essaie d'accumuler la somme et j'ai lancé une campagne de socio financement pour m'aider.» Le livre, qui s'intitule Svelthanea, raconte l'histoire fantastique d'un groupe d'élite à l'époque médiévale. L'équipe tente d'élucider un kidnapping.
«C'est un peu comme un ''SWAT team'' de l'époque. Je suis conscient que mon bouquin n'interpelle pas toute la population. Je pense quand même que c'est une bonne histoire et qu'il y a un marché pour ce type de roman. Cela a toujours été un rêve de publier un livre.»
Vision de l'éditeur
Advenant le cas dans lequel M. Laroche ne serait pas capable d'amasser les fonds, le livre ne serait tout simplement pas publié. C'est une situation qui est loin d'être hors norme. Alain Lafrance, l'éditeur potentiel du livre, explique sa vision des choses.
«Le but est d'être capable d'éditer son livre. Cependant, je dois être capable de faire mes frais. C'est la seule façon que je connais de faire les choses. S'il existe une autre façon, j'aimerais bien la connaître. Je reconnais que c'est très difficile pour un premier auteur, mais le monde de l'édition est très compétitif. »
En discutant avec l'éditeur, il ne fait aucun doute sur sa volonté de publier le livre. «Je reçois plusieurs manuscrits par année et la très grande majorité est simplement refusée. Quand j'en lis un qui est bon, mon but est évidemment de le publier, mais il faut aussi qu'il soit rentable. »
[Read More ...]
No comments:
Post a Comment